Ses vingt années d’expériences la conduisent à Oser sa touche #MyWay au Raks égyptien classique. La Chorégraphe Orientale Internationale a tenue à développer, ce que l’on pourrait qualifier d’un #NeoBaladi en composant une chorégraphie si originale qui montrerait, sans efforts, sa redéfinition du #Baladi traditionnel dans chaque geste corporel, micro-expression et même dans le «Galabeya», sans pour autant provoquer un éloignement dans les fondamentaux de ce style historique de la danse orientale.

@ Javed Sobah

La scène de la Serbia était l’endroit idéal pour présenter cette toute nouvelle et sublime approche. Dans cet élan de ne pas désacclimater les amoureux de la danse orientale, Latifa Saadi a choisi de présenter sa définition du ‘Neo-Baladi’ à travers un solo riche en intensité de 3 minutes sur la douce mélodie d’une musique mixte – débutant sur le «Baladi Romantique» de Mohammad Ali et s’étendant sur la partie frénétique de sa performance sur «El Hob Halal» de Hossam Ramzy, qui signifie littéralement « Amour Incondamnable ». Une célébration euphorique à la Liberté d’exprimer un amour pur béni par le Divin, et ici, la chorégraphe et danseuse, dépeint chaque sentiment de la façon dont un esprit libre amoureux vit ce moment, à travers ses mouvements zélés plein de grâce, de sensualité et de joie.

« Le Baladi traditionnel a pour essence la spontanéité et l’intensité. Il cache et montre en même temps le bonheur dans l’expression profonde des sentiments liés aux racines et au cœur de la musique sur laquelle la chorégraphie est créée et façonnée! D’autre part, dans mon approche de ce nouveau style de Raks, mon ambition est de mettre en avant chaque talent derrière, à commencer par le compositeur de la chanson, le compositeur de la musique, le chorégraphe et même les créateurs de costumes et les ingénieurs du son et de la lumière. Certes, je fais une version «My Way» mais en prenant en compte à ne pas déformer l’essence » fait comprendre Latifa Saadi.

Sa démarche audacieuse exigeait, en effet, des tonnes de travail et de précision. Mais il ne lui a fallu que quelques heures de travail intenses pour imaginer méticuleusement, conceptualiser et réaliser. Les principaux points étaient sur chaque mouvement de bras léger, vigoureux ou tranché et chaque douceur dans les multiples positions des mains expressifs qui suit le son de la musique. Chaque poussée énergétique du buste et chaque rotation du haut du corps ainsi que des épaules de manière synchronisée avec les torsions, les contractions, relâchements et arrêts abdominaux, les ondulations du ventre, la maîtrise des hanches dans ses mouvements hypnotiques, de droit à gauche, d’avant en arrière… Et surtout ces mains dans les cheveux lors de ces expressions faciales changeantes et ces jeux du regard et des lèvres qui évoluent épisodiquement, de doux à intense, de joyeux à extasiant en suivant l’évolution de l’histoire illustrée dans la musique dansante!

Il faut le reconnaître, c’était un travail de raffinement et de toute beauté que Latifa Saadi a montré sur la scène de la Niška Tvrđava- Niš Fortress au cours de cette première édition du RAKS -NIS International Oriental Dance Festival Nis/Serbia, initiée Marina ‘Ajsa Samia’ Rehbein, organisatrice de Raks. Son choix particulier d’un «Galabeya» de couleur noir et orné d’argent pour ce solo était de faire véhiculer une image de simplicité et de neutralité dans cet univers. On vous laisse vous immerger dans la vidéo…

Après vingt ans de dévouement, la Chorégraphe Orientale Internationale a pour ambition d’apporter sa contribution en donnant sa juste valeur au #MondedelaDanseOrientale, dans un style «My Way», repoussant tous ces clichés trop longtemps attribués à tort à la #DanseOrientale ! Ceci n’est qu’un début, le mieux serait de la suivre …

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Instagram : https://www.instagram.com/latifa.saadi.974/

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